en attendant voici une tres belle idée sur les pensées
Nos pensées se prolongent en ondes vibrantes et animées.
Elles ont une composition analogue à celle de la matière aussi vibrante et animée.
Elles se comportent de la même façon et contiennent la vie immanente
Elles se propagent et propagent la vie
Elles sont comme les personnes qui cherchent les lieux et les sites où elles peuvent se poser
Il y a en chacune d'elles une proportion au vagabondage et à l'infidélité
Il faut les apprivoiser car elles ont une vie propre et craignent d'être blessées.
"Pierre Monnier/BERTRAND DE JOUVENEL"
Masque de cire il est apparu de rouge vêtu
pour conjurer la fatalité des âmes perdues
figé dans les habits du destin de l’humanité
il a chanté la mélodie des cœurs brisés
une larme de douleur a souillé l’espérance
elle a déchiré le voile opaque de notre errance
elle a fait jaillir la vérité des épines de nos vies
poussières minuscules dans le froid sidéral de la nuit
le souffle de l’éternité n’est- il qu’une illusion
notre existence n’est- elle qu’une vaine agitation
Sommes-nous à l’anéantissement condamnés
devons nous perdre à jamais les êtres aimes
j’ai froid de tristesse j’ai froid de solitude
Tendez-moi la main mes frères d’infortune
réfauchez moi de votre compassion
redonnez moi la foi de l'abandon
Rédigé à 15H24 dans MES ECRITS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Otes tes
habits de servitude
Ceux de tes habitudes
Abandonnes les
chaînes du passé
Celui de ton
coeur blessé
Laisses la froideur des faux -semblants
Celle des
couples et des mauvais amants
Oses
traverser le miroir des apparences
Celui des trompeuses évidences
Casses les
briques qui t’ont façonné
Celles qui
t’ont asservi et brisé
Ne suis plus
le chemin terne et facile
Celui des hommes mornes et dociles
C’est à ce
prix que tu apercevras l’espoir
Celui de la
libération de tes passions
C’est à ce
prix que chaque souffle de ta vie
Gardera la saveur
des instants du bonheur
C’est à ce
prix que lorsque tu te retourneras
C’est le
visage de l’amour qui te sourira
Rédigé à 20H55 dans MES ECRITS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Les mots que j’envoie sont des sos
Ce sont les larmes de ma détresse
Qui saignent de mon cœur abimé
De l’absence des êtres aimés
Je suis là l’âme troublée
Et je cours pour me détourner
Je tends les mains pour saisir
Le temps qui continue de fuir
Les mots que j’envoie sont des sos
Ce sont les larmes de mon stress
Qui creusent sur mon visage fatigué
Les cicatrices de l’amertume brisée
Je ferme les yeux je veux m’envoler
dans l’océan de l’infini Me diluer
M’évaporer comme perle de rosée
Dans la chaleur de l’amour retrouvé
Rédigé à 23H32 dans MES CONFIDENCES | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Prends-moi dans tes bras mon bien aimé
Réchauffes moi de ton amour sucré
Effleures de tes doigts agiles ma peau d’amande
Prends mes lèvres de ta bouche gourmande
Fermes les yeux et regardes moi avec ton cœur
ne violes pas mon âme de tes rancœurs
effaces les apparences de la réalité changeante
reconnais l’amante fidèle et bienveillante
chaque jour je meurs d’avantage de ton absence
ce vide d ‘amour est ma souffrance
emprisonnée dans la douleur de tes errances de vie
j’ai plongé dans les eaux troubles de ta folie
sous les étreintes de mes amants de passage
ce sont tes yeux qui m’envisagent
c’est ton souffle qui adoucit ma peine
ce sont tes ardeurs qui m’enchaînent
j’ai perdu le sel de l’espérance
tu m’as volé la confiance
j’avance sur le fil de mon existence
souhaitant à chaque pas m’envoler
me désagréger comme fleurs de papier
Rédigé à 22H36 dans MES CONFIDENCES | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Prends ma main et emportes moi
Au delà de la réalité de nos émois
Les douleurs de ce monde de fer
Serrent et Broient nos cœurs de verre
Je veux sentir le souffle de ta vie
Sur mon visage d’amour rempli
Caresses mes cheveux flottant
Dans le vent de la liberté des amants
Donnes moi ton épaule de tendresse
Pour m’y blottir en effaçant ma tristesse
La douceur de tes mains devient mon espoir
La chaleur de ton corps efface ma mémoire
Si notre réalité n’est que pure illusion
Je veux Flotter au gré des vents de mes passions
Danser sur les ailes des désirs de mes amants
Pour que mon âme brûle dans la déraison
Et que mon cœur s’éparpille comme cendres sur l’océan
Rédigé à 21H33 dans MES ECRITS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé à 19H52 dans CE QUE J'AI ENTENDU | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Ecoutes le murmure des promesses
Qui comme la brise te couvre de caresses
Lègères douces raffinées sensuelles
Fermes les yeux laisses toi immerger doucement
Dans les senteurs des parfums de l’orient
Sucrés ambrés poivrés épicés
Laisses toi emporter sur les ailes de ton imagination
Feutrée de tendresse d’amour et de passion
Sincères profondes chaudes envoutantes
Mais Prends gardes de ne pas te retourner
Sur les épines froides de la réalité
Acérées venimeuses quelquefois mortelles
La vérité nait et meurt dans l’instant
Elle est changeante comme l’air du temps
Elle s’éparpille comme les grains de sable
tournoyant dans le désert des cœurs instables.
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Qui tendra la main avant qu’elle ne s’envole
Flottant au gré du souffle du vent de la vie
A quoi bon les rêves lorsque l’amour est parti
Elle se sent étrangère inutile et désespérément seule .
La blessure des mots restera gravée
Ignorance et négation de son existence
Balayée par leur intense cruauté
Ils ont à jamais tué la confiance..
Elle me tend ses poignets je les effleure
caresse doucement les stigmates de ses pleurs
Atténués par ce partage de nos peurs
Elle me sourit avec le regard de son cœur
Elle a déployé ses ailes et dans le vide s’est élancée
Tourbillonnant comme feuilles d’automne argentée
Elle s’est élevée au dessus de ce monde froid et desséché
Irrésistible ascension dans la chaleur de l’amour retrouvé
Rédigé à 17H04 dans MES ECRITS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Le rythme
lancinant de cette mélopée orientale Tel
Janus tu t’es avancé avec le masque de la tendresse Je ne
cherche plus de tes faux semblants les obscures raisons Alors
j’ai encore la naiveté peut être de penser
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Le chemin lui paraissait trop difficile
noyé dans le désespoir de ses incertitudes
il s’est assis à même le sol froid corps fragile
le visage bouleversé de lassitude
il devait fuir ce monde brutal d’ingratitude
il fallait arrêter la tenaille de l’angoisse glacée
le vide d’amour et le plein de solitude
peu importe le prix à payer de cette fuite effrénée
d’une main tremblante il a saisi le venin mortel
une larme d’espoir a coulé sur sa joue d’adolescent rétif
une injection pour un paradis artificiel
il attendait le trip l’extase la plénitude des shoots et du shit
explosion de fureur neuronale il a suffoqué
dans la terreur de la souffrance emporté
il est passé derrière le miroir de la réalité
sur les ailes noires de la poussiere d’ange envolé
Rédigé à 23H06 dans MES ECRITS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Pourquoi cette haine du cœur
Pourquoi ces regards de fureur
Pourquoi avoir sacrifié l’amour
Pourquoi ces menaces sans retour
Vous avez jeté vos mots comme des souillures
Dans la violence de leur morsure
Ils m’ont submergée et brisé l’âme
Qui se consume dans la douleur de mes larmes
Brutalité calculée vous avez tué l’étincelle
Réagir ou subir mourir ou vivre rebelle
Pour me libérer j’ai utilisé vos armes
Et je suis devenue à mon tour infâme
Les pensées sont énergie elles façonnent notre devenir
Elles se posent sur nous , nous caressent ou nous déchirent
Maintenant je dois ôter une à une les épines acérées
Que vos pensées indignes ont laissé dans mon cœur abimé.
Rédigé à 01H03 dans MES ECRITS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Quand la douleur froide de l’absence d’amour
Comme la proie dans les serres d’un vautour
me broie la vie de son étreinte de fer
et laisse sur mon corps des plaies amères
Quand mes rèves sont vides de l’innocence
Nourrie de la douceur de mon enfance
Quand je réalise que ces joyaux de tendresse
Se sont à jamais évanouis dans le brouillard de la détresse
Une larme de vie s’échappe de mon âme désespérée
Elle coule doucement sur mon cœur délaissé
Creusant comme de l’acide un sillon de vide
Que se cache t il derrière le miroir de la réalité
La chaleur de la lumière de l’amour retrouvé
Ou le noir absolu du néant de l’infini éthéré ?
Nous sommes poussières dans l’immensité du temps
Je veux alors me perdre dans le regard bleu de mes amants
pourvu qu’il me donne l’illusion pour un instant
que la vie ne meurt pas dans le souffle du vent
Rédigé à 22H51 dans MES CONFIDENCES | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Ce soir j’ai mis mes habits de velours
Je les ai retrouvés cachés dans les abîmes
Des rêves impudiques de mes amours
Ils sont feutrés par le vent des promesses
Du bout des doigts je les effleure
Pour les réchauffer de ma tendresse
Sous mes caresses ils reprennent la couleur
Des voluptés des corps de mes amants
Ils chatoient et dansent sur le bord de mon cœur
J’aperçois mon visage dans le miroir du temps
Radieux de l’espoir que le désir n’est pas mort
Mais Terrifiée des étreintes des passions de vent
Ce soir j’ai quitté mes habits de velours
Je les ai pliés délicatement dans la tiédeur
Des souvenirs meurtris de mes amours
Seule, je vous cherche je vous envisage
Deux, Je me donne avec émotion sans concession
puis je me détourne pour m'envoler vers d'autres rivages.
Rédigé à 23H43 dans MES ECRITS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Nous dilapidons notre vie couleur de morosité
Embarrassés du quotidien couleur d’instantané
Aveuglés par nos besoins immédiats
couleur de faiblesse
Courant sans cesse vers le lendemain couleur de tristesse
Sommes nous prêts à casser les murs couleur de pierre
Sommes nous capables de briser les
règles couleur de fer
Qui étouffent nos folies et nos désirs couleur d’envie
Qui emprisonnent nos espoirs couleur de vie.
Du revers de la main elle a brisé ses
chaînes couleur de peine
Elle a jeté ses habits de société
couleur d ‘ébène
Elle a fait voler en éclat ses habitudes
couleur de certitude
Elle a détaché ses cheveux couleur de servitude
D’un regard amusé elle a jeté mille couleurs de chaleur
Sur les murs de son existence couleur
d’enfance
Quitte à en payer le prix couleur
d’errance
Elle savoure chaque instant couleur de bonheur
Rédigé à 00H35 dans MES ECRITS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Endormie dans le corps chaud maternel
Protégée dans mon berceau fusionnel
J’ai été expulsée dans la froide lumière de la vie
Suffoquant de la douleur de mon premier cri
Depuis je flotte dans le vent imprévisible du jour
Me posant parfois sur les rives de l’amour
Espérant sans relâche réchauffer mon coeur
Auprès de la flamme rassurante de ses ardeurs
Le temps court et m’emporte dans ses tourments
De mille façons illusoires Je me distrais pourtant
Légère et fragile de l’incertitude de mon chemin
Je tournoie et virevolte dans le souffle de ce monde d’airain
C’est ma vie, c'est notre vie, c’est la vie
Bien éphémère que nous gardons précieusement
Mais qui s’échappera un jour inexorablement
Rédigé à 08H33 dans MES ECRITS | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)