quand la passion m' emprisonne
dans les sombres méandres de la jalousie
que tous les saints du paradis me pardonnent
je meurs de ne plus être la source de ton désir
la seule l'unique la sublime qui te donne
son corps en partage et son coeur en otage
femme blessée tel un animal sauvage
je ne sais si je dois aller me cacher pour mourir
dans mes tourments et mes désillusions
et la morne solitude en héritage
ou me retouner agile et prête à bondir
pour méchapper et vivre sans concession
d'amours prédatrices éphémères et sans partage.
voila mon humeur de ce soir !
L'humeur ...
Le moral ...
La sensation parfois, de vide, de solitude ...
Mais il ne faut pas oublier qu'il suffit d'un petit rayon de soleil...
Ne jamais oublier "résister" et je suis bien placée pour le savoir ...
Sincèrement.
Florentine.
Rédigé par : Florentine | mercredi 28 mars 2007 à 11H45