Lorsque est venu le temps des soupirs
tu restes allongé le regard perdu de plaisir.
pour ranimer la flamme de notre étreinte passionnée
de plus en plus coquins se font mes baisers.
de ton cou à ton ventre je me rassasis de ta peau poivrée
par ton odeur exhalée de désir incertain je suis chavirée.
l'intensité de ton regard en cet instant sublime
me donne les audaces les plus ultimes
comme une chatte caline
sur ton corps brulant je m'incline.
j'emprisonne ton sexe dans le mien chaud humide et aimant
animé de spasmes réguliers et lancinants
dans ce doux cocon tu gémis doucement
je me retiens pour mieux t'admirer
toi mon tendre aimé entièrement abandonné
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